Airparif, l'organisme de veille de la qualité de l'air, indique que cette situation va perdurer. Paris et sa région subissent depuis une semaine le pic de pollution hivernal le plus long et le plus intense depuis dix ans.
En cause, la recrudescence de particules fines, qui stagnent près du sol, par manque du moindre vent. Elles sont émises par le chauffage au bois et le trafic automobile.
Jeudi, Airparif prévoit un "possible dépassement du seuil d'alerte", soit une concentration supérieure à 80 microgrammes/m3. Et un indice à 9/10, tout comme mardi et mercredi.
Ainsi, le dispositif de circulation alternée pourrait bien être reconduit.