Nous y passons en moyenne 40 minutes par jour : les embouteillages sont un enfer quotidien pour les automobilistes franciliens. Mais peut-on remédier à cette congestion motorisée ? Parigo vous dévoile des solutions venues parfois de l’étranger et revient sur les promesses faites en 2016 par la présidente de la Région : Valérie Pécresse avait dégainé à l’époque un plan « anti-bouchons » doté de 200 millions d'euros.
C’était le plus grand bouchon d’Europe : le pont de Nogent revit après 4 ans de travaux titanesques. Alors, suffit-il de réaménager les axes les plus embouteillés pour les fluidifier ?
Faire sauter les bouchons, tel était l’objectif ambitieux porté en 2016 par la Région Île-de-France grâce à une enveloppe de 200 millions d'euros destinée à traiter 40 points noirs. Huit ans plus tard, que reste-t-il de ces promesses ? Entretien vérité avec Stéphane Beaudet, vice-président de la région Île-de-France en charge des transports.
Nous nous rendrons ensuite en Belgique, à Anvers, là où les vitesses autorisées fluctuent constamment en fonction du trafic, et ça marche ! Les routes sont moins congestionnées.
Enfin, nous reviendrons sur la cause première des embouteillages : l'autosolisme. Aux heures de pointe, 90% des conducteurs sont seuls dans leur voiture. Mais pourquoi le covoiturage ne décolle-t-il pas, malgré les aides financières proposées ? C’est ce que nous verrons avec Frédéric Fabre, directeur du département mobilités au Cerema Île-de-France, établissement public relevant du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, accompagne l’État et les collectivités territoriales pour l’élaboration, le déploiement et l’évaluation de politiques publiques d’aménagement et de transport.
► Rendez-vous ce samedi à 12 heures 35 sur France 3 Paris Île-de-France, ou en replay sur France.tv/idf