Blocage de la prison d'Osny : les surveillants pénitentiaires restent mobilisés

Les surveillants de la prison d'Osny réclament plus de moyens et plus d'hommes après l'agression d'un de leur collègue à Condé-sur-Sarthe la semaine dernière. 

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Ils étaient une vingtaine de surveillants pénitentiaires à bloquer l'accès la maison d'arrêt d'Osny dans le Val d'Oise ce lundi 11 mars. Depuis l'agression de leur collègue à la prison de Condé-sur-Sarthe mardi dernier, les surveillants restent mobilisés dans toute la France et empêchent les accès à une centaine de prison.

Tous les jours, un collègue peut repartir les pieds devant

Aux abords de la prison d'Osny, les gardiens de prison réclament plus de moyens humains et financier pour assurer la sécurité des établissement dans de bonnes conditions. Lucie Lecuyer, déléguée Force Ouvrière dénonce une surpopulation carcérale. Ils sont 880 détenus là où la prison ne peut en contenir que 580.
Intervenant : Lucie Lecuyer, déléguée F.O. pénitentiaire Maison d'arrêt du Val d'Oise - Tania Watine et Louise Simonder
"Tous les jous un collègue peut repartir les pieds devant. On n'a plus de vie de famille, c'est l'épuisement, on est à bout."

Les surveillants de la prison du Val-d'Oise se sentent particulièrement concernés par l'agression de leur collègue de Condé-sur-Sarthe, en 2018, une gardienne d'Osny avait été prise à partie par un détenu




 
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information