Pour sa troisième édition, la Biennale d’art contemporain de Gentilly investit jusqu'au 14 avril l’ancien collège Pierre Curie, un établissement des années 30 jusqu’aujourd’hui désaffecté. De quoi nous plonger, parfois, dans une ambiance de film d’horreur.
Vous aurez beau tomber sur les deux sœurs jumelles de The Shining au détour d’un couloir, rassurez-vous : vous n’avez a priori pas pris la place du petit Danny dans le film de Stanley Kubrick. Vous faites en réalité face à l’une des installations créées dans le cadre de la Biennale de Gentilly, dans le Val-de-Marne.
Intervenants : Sandrine Rondard, Peintre // Monika Dudzik, Scénographe // Magda Moraczewska, Co-organisateur de la Biennale de Gentilly.
« On y sent des esprits »
Pour sa troisième édition, l’événement a investi l'ancien collège désaffecté Pierre Curie, un établissement qui date des années 1930 et qui regorge de souvenirs inquiétants.« On dit que ce collège est hanté mais particulièrement la salle de musique, avance par exemple la scénographe Monika Dudzik. On y sent des esprits, plein de choses… Et par hasard ou pas, les deux artistes qui ont exploité cette salle ont, par les personnages qu’elles mettent en scène dans cette espace, réveillé un peu cette esprit fantomatique. »Avec la Biennale de Gentilly, l’art contemporain s’installe dans un collège désaffecté ► https://t.co/PDPJF1te4K pic.twitter.com/35e7w2p997
— France 3 Paris (@France3Paris) 2 avril 2019
Les œuvres des plasticiens, installées dans cette friche artistique de l'autre côté du périphérique, resteront visibles jusqu’au 14 avril.