Rien n'est toutefois décidé
Le comité de candidature a tenu à préciser que "c'est une option qui tient la route". "Mais cela n'est pas décidé. Les validations formelles ont lieu en conseil d'administration", a affirmé à l'AFP Etienne Thobois, directeur général de Paris-2014.Les compétitions de dressage et de saut d'obstacles se dérouleront dans cet espace, point de départ et d'arrivée du cross, l'épreuve la plus spectaculaire et populaire du complet, longue d'environ 6,5 kilomètres.
Les atouts et le prestige de Versailles
"Pour l'ensemble du dossier, le château de Versailles est un argument et un atout supplémentaire", a-t-il ajouté. L'acheminement des spectateurs pourrait se faire par les gares déjà existantes côté château (RER et SNCF) et par la réactivation d'une ligne côté Saint-Cyr-L'Ecole, depuis la gare Montparnasse.► VOIR le reportage
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JO 2024 : l'équitation au château de Versailles
Des alternatives en Île-de-France
Le territoire francilien ne manquait pas d'alternatives, avec Rambouillet, dans les Yvelines, Fontainebleau, en Seine-et-Marne, sans compter Chantilly, dans l'Oise, à seulement une cinquantaine de kilomètres de la capitale et dont le domaine est grandiose.Dans le dossier de la candidature pour les JO de 2012, finalement attribués à Londres, le site retenu pour l'équitation était l'hippodrome de Longchamp. En cas d'organisation des Jeux olympiques à Paris en 2024, la Fédération française d'équitation souhaiterait proposer la candidature du site de Versaillres pour les Jeux équestres mondiaux de 2026.