2500 personnes à Nantes pour le traditionnel défilé du 1er mai place du Commerce. Un "petit" 1er mai, un faible participation qui contraste avec les discours alarmistes des syndicats, les salariés français sont en grande difficulté mais ne se rassemblent pas pour le démontrer...

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Le record du 1er mai 2002 restera à jamais inégalé avec plus de 30 000 personnes dans les rues de Nantes. Entre les deux tours de la présidentielle, les salariés avaient voulu montrer leur hostilité à la présence du FN au second tour. 12 ans plus tard, c'est un "petit" 1er mai qui rassemble 2500 personnes. On y voit les responsables syndicaux et les quelques militants habitués qui jouent la solidarité dans toutes les manifs sociales nantaises.

CGT, FO, Solidaires et Snes Fsu ont appelé à un rassemblement place du Commerce, le Front de Gauche, Lutte Ouvrière, le PC, quelques groupes d'extrême gauche ou encore EELV, ont répondu à cet appel. Au centre des discours, la politique du gouvernement de Manuel Vals, les retraites, les licenciements toujours plus nombreux, les revenus du capital et l'absence de redistribution. Le constat dressé par les représentants syndicaux paraît juste, pour autant la faiblesse de la participation semble leur donner tort.



Mêmes slogans à Saint-Nazaire ou 500 personnes ont répondu à l'appel des syndicats, en marge une trentaine de bonnets rouges se sont rassemblés devant la mairie.

Ailleurs dans la région, 700 personnes se sont réunies à Angers, une centaine à Fontenay-le-Comte, 150 environ à Cholet, près de 150 au Mans.
 

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