Depuis plusieurs années, les organisateurs de ce festival proposent des oeuvres des compositeurs et musiciens interdits par les régimes dictatoriaux du monde.
Cette semaine, Karol Beffa (nommé compositeur de l'année aux Victoires de la Musique) rend un hommage à Kafka. Il met en lumière la dimension visionnaire de l'écrivain au travers d'un opéra-ballet intitulé "Equinoxe", joué à l'église St Cannat (rue de la République à Marseille)
Ce jeudi 11 juillet, dans la cour de la préfecture, le public pourra découvrir une oeuvre de Jan Meyerowitz, sauvé du camp des Milles par le réseau Varian Fry. Il s'agit d'une création lyrique sur la ségrégation raciale, interprétée par des divas sud-africaines.
Comme le veulent les organisateurs du festival des "Musiques Interdites", le choix des concerts reste artistique et pédagogique, en toute gratuité.