Ce matin, Jean-Pierre Dick et Fabien Delahaye ont contacté leur équipe pour les prévenir que deux lisses (renfort structurel). Ils se déroutent vers l’Archipel de Madère (situé à 250 milles) pour évaluer la situation et prendre une décision sur la poursuite ou non de la Transat Jacques Vabre.
Jean-Pierre Dick explique ce qu'il s'est passé: "Ce matin, nous avons pris un grainfort. Le bateau a accéléré dans une mer cassante. Je suis allé dans la soute à voile et j’ai constaté que deux lisses étaient cassées au milieu de la soute à voiles.
Nous ne pouvons pas continuer sereinement et réparer en mer
Nous ne pouvons pas continuer sereinement et réparer en mer car le vent mollit assez tard aujourd’hui. Nous allons rejoindre un abri dans l’Archipel de Madère que nous devrions atteindre demain. Nous évaluerons la situation là-bas avec l’équipe technique. Nous prendrons la décision de réparer et de continuer ou d’abandonner à ce moment-là.
Je suis vraiment déçu car depuis le départ du Havre avec Fabien, nous avons mené le bateau avec prudence dans les conditions musclées pour le préserver."
Ce matin, Jean-Pierre Dick et Fabien Delahaye ont contacté leur équipe pour les prévenir que deux lisses (renfort structurel) étaient cassées au milieu de la soute à voiles. Le duo à bord de StMichel-Virbac se déroute vers l’Archipel de Madère (situé à 250 milles) pour évaluer la situation et prendre une décision sur la poursuite ou non de la Transat Jacques Vabre.