Du 6 au 13 octobre, « Un festival c’est trop court ! » revient pour une 23ᵉ édition sous le signe de la Nuit. Au-delà la compétition officielle, le festival propose des soirées festives avec musique, danse, théâtre… Découvrez le programme !
Révéler la jeune création et promouvoir le court-métrage sous toutes ses formes… C’est l’objectif du festival qui accompagne chaque année le début de l’automne dans la capitale azuréenne. Nouveauté cette année, le festival prend ses quartiers au 109, la friche culturelle de Nice en plein développement.
81 films, 102 cinéastes, 21 pays européens, 41 réalisatrices
Des chiffres qui montrent toute la puissance du festival du film court de Nice. Films d’animations, films documentaires, tous les styles sont acceptés, tant qu’ils ne dépassent pas 59 minutes. Cette année, 81 films ont été sélectionnés. Seulement 4 seront désignés lauréats de l’une des compétitions officielles :
- Compétition Européenne (films produits et/ou co-produits en Europe),
- Courts d’ici (films tournés et/ou produits en Région Sud & Corse)
- Expérience (compétition de films expérimentaux, vidéo d’art, nouveau cinéma)
- Animation (compétition de films d’écoles européennes d’animation)
Comme dans tout festival de films, c’est un jury d’experts qui sera chargé de désigner les grands gagnants. À la clé, une aide financière, mais aussi un accompagnement technique et une mise en relation avec des acteurs du cinéma. Si pour certains le festival est l’opportunité de trouver un distributeur, pour d’autres, c’est l’unique occasion d’être diffusé sur grand écran.
Les Nuits événementielles du festival
En plus des 60 séances de cinéma, Un festival c’est trop court ! propose des rendez-vous festifs tous aussi uniques les uns que les autres.
Le samedi 7 octobre, assistez au ciné-concert « Malombra, pourquoi les héroïnes meurent à la fin ? ». Sur les images du film « Malombra » datant de 1917, les musiciennes Louise Belmas et Julie Roué racontent, chantent, jouent, pour dénoncer le fait que oui, les héroïnes meurent souvent dans les films, du moins à l’époque.
Pour « La nuit de la danse », Bintou Dembélé, danseuse et chorégraphe, sera l’invitée d’exception. Nous découvrirons pourquoi elle est qualifiée de « figure majeure du hip-hop en France » grâce à une conversation intime avec l’artiste, mais aussi avec la projection de son court-métrage Strates.
Mercredi 11 octobre, choisissez votre gagnant ! À l’occasion de la nuit blanche, une battle de courts métrages vous permettra de désigner votre coup de cœur. Installez-vous, regardez et applaudissez… Ou pas.
Une cérémonie de clôture en musique avec le rappeur Benjamin Epps. Deux rendez-vous dans la même soirée pour ne pas passer à côté, à 19h au Cinéma Variétés et à 21h au 109.
Un festival pour la jeune génération
Un festival c’est trop court ! apporte une importance considérable au jeune public. Ancré dans son ADN, le festival met un point d’honneur à éduquer les plus petits à l’image et à approfondir leurs connaissances sur le 7ᵉ art.
De la maternelle au lycée, une programmation leur sera spécialement dédiée. La journée cinématographique est aussi l’occasion de leur faire découvrir des œuvres uniques et de susciter des vocations en leur montrant les métiers du cinéma.
Enfin, initier au montage, tel est l’objectif des ateliers du festival. Grâce à la table Mashup créée par Romuald Brugnon, les enfants pourront directement manipuler cartes et sons, pour une immersion complète dans le métier de monteur.
Un festival c'est trop court !
Du 6 au 13 octobre
Site internet
Programmation spéciale jeunesse
Billetterie