Ce mercredi 24 janvier, en début de soirée, un individu a été tué par arme à feu en pleine rue à Nice. Le maire de la commune Christian Estrosi s'est rendu sur les lieux, les auteurs sont recherchés par les forces de l'ordre selon un syndicat policier.
Un périmètre de sécurité a été déployé par les forces de l'ordre après la mort d'un individu, dans le secteur du boulevard René-Cassin à Nice (Alpes-Maritimes), ce mercredi soir, à l'ouest de ville, dans une rue très passante bordée de commerces et d'immeubles d'habitation.
D'après le syndicat Alliance Police, il s'agirait d'un règlement de compte, la personne décédée a été mortellement atteinte de plusieurs cartouches.
D'après les informations de nos confrères de France Bleu Azur, la victime est un Tunisien en situation régulière doté d'un titre de séjour. Toujours selon la radio du groupe audiovisuel public, une voiture incendiée à proximité du cimetière de la Caucade a été retrouvée boulevard Henri-Matisse, à quelques kilomètres à peine du lieu des tirs.
Les auteurs en fuite
Le premier adjoint du maire de Nice, Anthony Borré, a tweeté plusieurs photos de la scène de crime peu après 19h.
Un règlement de compte est intervenu Boulevard Cassin.
— Anthony Borré (@anthony_borre) January 24, 2024
Nous disposons d’images qui doivent nous permettre de faire avancer l’enquête.
Merci aux policiers mobilisés qui recherchent activement l’auteur des faits ! pic.twitter.com/Zsy3pWmCad
Elles montrent la présence du premier édile, de la police municipale, et de véhicules d'intervention des sapeurs-pompiers des Alpes-maritimes.
Le président du parti Les Républicains, le Niçois Eric Ciotti, a quant à lui fait part de sa "forte inquiétude devant la spirale de la délinquance et de la criminalité qui gagne notre ville !"
Un homme a été tué par arme à feu, rue Charles Chauve à #Nice06.
— Eric Ciotti (@ECiotti) January 24, 2024
Forte inquiétude devant la spirale de la délinquance et de la criminalité qui gagne notre ville !
Merci aux forces de l’ordre pour leur intervention rapide !
Les auteurs, souligne le syndicat policier, sont en fuite.