Les soutiens de François Fillon et Jean-François ont défilé sur les plateaux télés et radios. Députés des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, Christian Estrosi Jean Léonetti et Michèle Tabarot se sont exprimés.
Après une nuit très courte, les différents soutiens de François Fillon et Jean-François ont défilé sur les plateaux télés et radios. Députés des Alpes-Maritimes, Erci Ciotti, Christian Estrosi et Jean Léonetti (Camp Fillon) et Michèle Tabarot se sont exprimés.
Sur Europe 1, Eric Ciotti : "C'est tout le moins un dysfonctionnement qu'une formation politique comme la nôtre ne soit pas capable de désigner son président. Nous n'accepterons pas de nous faire voler ce résultat. Ce spectacle est un peu désolant".
Ciotti : "Un spectacle un peu désolant" par Europe1frUn peu plus tard, Valérie Pécresse (soutien de Fillon) est opposée à Michèle Tabarot (soutien de Copé). Un débat très tendu.Valérie Pécresse: "Ce n'est pas parce que vous répétez un mensonge que ça devient une vérité." La députée des Alpes-Maritimes parle de "la bande de François Fillon."
Pécresse : "Le ridicule est dans l'absence de... par Europe1frA 6h50, sur BFMTV, Jean Léonetti (soutien François Fillon) évoque, à titre personnel, une nouvelle élection. "Si on se trouve à une dizaine de voix près pour l’un ou pour l’autre, si on se trouve dans un climat de suspicion, il vaut mieux recommencer l’élection. Rien ne serait pire que de vivre avec la suspicion d’un camp déclaré perdant."
##fr3r_https_disabled##Christian Estrosi juge que François Fillon "compte quelques centaines de voix d'avance" sur Jean-François Copé dans la course à la présidence de l'UMP. Le député-maire de Nice appelle le camp du secrétaire général du parti à "ramener l'unité et la sérénité" mais dénonce l'organisation du scrutin. Pas question pour Christian Estrosi d'admettre des problèmes dans sa circonscription, contrairement à ce que dénonce le camp de Jean-François Copé. Et de toute façon, "Nice a voté à 71% pour François Fillon et ma cironscription à 74%". Par contre, "là où j'ai des soupçons de fraudes massives, c'est en Seine-et-Marne, dans l'Oise et dans l'Hérault. Cirsconcriptions où des militants ont pu voter deux fois dans des bureaux différents". Mais "au-delà des centaines de voix enlevées à François Fillon", ça ne changera pas l'avance de l'ancien Premier ministre.