La coopérative lancée par les ex-Fralib, fait face à des difficultés financières. Un appel aux dons a déjà permis à la scop de recueillir 100000 euros. Les autogestionnaires espèrent aussi une aide de la BPI, la banque publique d'investissement.
Les "Fralib", anciens salariés du groupe Unilever (thé et tisanes) avaient gagné leur combat contre le groupe et réussi à créer leur propre structure sous la forme d'une Scop. Nouveau nom de leur entreprise : 1336. Un chiffre correspondant au nombre de leurs jours de lutte.
La nouvelle équipe a réussi à doublé la production de sachets de thé et de tisanes en seulement une seule année.
Mais la trésorerie ne suit pas. La scop affiche un trou de 700000 euros. L'appel aux dons lancé il y a quelques semaines a permis déjà de récolter 100000 euros.
Les salariés de 1336 espèrent également intéresser la BPI (Banque Publique d'Investissement).