Selon un des avocats des victimes, les prothèses mammaires contiendraient du baysilone.
Les analyses du gel incriminé ont révélè qu'il contient plusieurs produits de la pétrochimie. Du baysilone mais aussi du silopren et du rhodorsil utilisés dans l'industrie du caoutchouc Les analyses n'ont porté que sur des prothèses saisies dans l'usine de fabrication de la Seyne-sur-Mer.
Désormais, l'Affsaps demande que soient analysés les implants prélevés sur les patientes.
Les produits ont été commandés par l'ex société PIP à de grands groupes de chimie industrielle. Leur nocivité sur l'organisme humain n'a jamais été testée cliniquement.
Pour l'instant en France , vingt cas de cancers ont été déclarés par des femmes concernées par l'implantation de prothèses PIP.
Interview d'un des avocats des victimes.
Phillipe Courtois est l'avocat de 1300 femmes victimes de la société PIP.
Des produits nocifs pour la santé.
Le gel des implants mammaires PIP contiennent des produits dérivés du pétrole.