Marine Le Pen en meeting dans le var, à draguignan, c'est ici la campagne a été lancé en janvier marine le pen et jordan bardella sont une terre favorable, en 2014 le parti a fait 35% aux européennes. Deux municipalités sont gérées par le RN Fréjus et le Luc.

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C'est un meeting sur des terres déjà conquises. Vendredi soir, à Draguignan, la présidente du Rassemblement National (ex-FN) est venue soutenir Jordan Bardella, 23 ans, tête de liste aux élections européennes. En 2014, le FN avait obtenu 35 % des votes aus européennes. Dans le Var, trois municipalités sont gérées par le RN : Fréjus, Cogolin et Le Luc.

Arrivée à 20 heures, Marine Le Pen a estimé que le président Emmanuel Macron, en s'engageant dans la campagne de son parti, "mettait son avenir entre les mains des électeurs", après l'avoir enjoint à "partir" s'il échouait aux élections européennes du 26 mai. "En transformant cette élection en référendum et en remake du désormais célèbre "venez me chercher", (M. Macron) met son avenir entre les mains des électeurs, oui ou non ?", a demandé la cheffe du Rassemblement national aux centaines de militants réunis à Draguignan, dans le Var. "Oui", a répondu en choeur la salle.

Question de l'immigration


La tête de liste Jordan Bardella a jugé "centrale" la question de l'immigration, affirmant qu'il ne voulait pas "la transformation de certains marchés provençaux
du Var en souks islamiques". Au micro de France 3 Côte d'Azur, il a eu cette formule : "nous essayer, c'est nous adopter".

► Reportage à Draguignan : 

Intervenants : Jordan Bardella, tête de liste aux européennes - Marine Le Pen, présidente du Rassemblement National
Un reportage de : Coralie Becq - Emma Arnau

 

Marine Le Pen avait considéré jeudi sur LCI que si Emmanuel Macron "(perdait) l'élection" européenne, "alors il devra partir". Le chef de l'État avait auparavant déclaré qu'il mettrait "toute son énergie pour que le le RN ne soit pas en tête". 
 

La Marseillaise  


"Alors, qui est anti-républicain, qui foule au pied notre constitution ?" a-t-elle demandé en conclusion, avant d'entonner la Marseillaise. Avant elle, le député du Gard Gilbert Collard, en position éligible sur la liste du RN, a estimé que son parti allait "non seulement gagner les européennes mais (...) tout gagner".

 
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