Deux perquisitions et au moins un homme en garde à vue après la prise d'otage dans l'église de St Etienne du Rouvray (Seine-Maritime)

L'enquête se poursuit après l'attentat de ce mardi matin, près de Rouen. Deux perquisitions ont été conduite, dont une chez les parents d'un des terroristes. 

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Une perquisition a eu lieu ce mardi après-midi avenue Olivier Goubert, près du centre culturel Le rive gauche, chez les parents d'un des deux terroristes. Selon des témoins, un jeune homme aurait été emmené menotté par les forces de l'ordre. Sans que l'on sache, pour l'heure, s'il s'agît de la même personne, un homme a été placé en garde à vue mardi dans le cadre de l'enquête sur la prise d'otages dans une église de Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), durant laquelle un prêtre a été égorgé, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Aucune précision sur le profil de cette personne n'a été donnée.

Une seconde perquisition était en cours en fin d'après-midi, rue Nicolas Tesla sur la commune de St Etienne du Rouvray. Il pourrait s'agîr du domicile d'un des preneurs d'otages.

L'organisation jihadiste Etat islamique (EI) a revendiqué cette attaque, affirmant que les assaillants, abattus par la police, étaient deux de ses "soldats".

Pour rappel, l’un au moins des assaillants aurait prononcé la phrase "Allah Akbar". L'un d'eux serait connu des services antiterroristes ont indiqué à l'AFP des sources proches de l'enquête. L'homme, abattu avec son complice par les policiers, était fiché "S", ont précisé ces sources. Il avait tenté de rallier la Syrie en 2015 et avait été, à son retour, mis en examen pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste et placé en détention provisoire, avant d'être libéré sous bracelet électronique. L'identification des deux assaillants se poursuivait ce mardi après-midi. L'un d'eux serait originaire d'Elbeuf, près de Rouen.

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information