Depuis la diffusion de la vidéo choc tournée à l'abattoir du Vigan, l'abattoir de Tarascon a perdu 10 % de son chiffre d'affaire. Les acteurs de la filière ont décidé de jouer la transparence pour restaurer la confiance des consommateurs.
Il y a un mois l'association L 214, diffusait des images très dures de l'abattoir du Vigan dans le Gard. On y voyait des animaux maltraités voire torturés avant d'être abattus, des pratiques totalement interdites en France. Ces images ont jeté le trouble dans la filière et chez les consommateurs.
A Tarascon, où se trouve l'un des principaux abattoirs de la région, les acteurs de la filière ont décidé d'agir pour restaurer la confiance. La presse est conviée à une journée "portes ouvertes" le 10 mars prochain pour voir dans quelles conditions sont abattus les animaux.
Reportage aux abattoirs de Tarascon :