Le grand public en entendra de plus en plus parler : French Tech est le nouveau label de l'Etat pour "booster" la nouvelle économie des TIC sur les territoires, avec un budget à la clé. Rennes et Brest étaient candidates en Bretagne au cercle restreint des villes "French Tech".
Le microcosme des entreprises et associations bretonnes impliquées dans la nouvelle économie est en ébullition. Depuis quelques semaines les dossiers de candidature au label French Tech, pour schématiser, ils sont un peu l'équivalent des Pôles de Compétitivité, ont été déposés au Secrétariat d'Etat au Numérique.
Grand merci à tout l'écosystème qui s'est très fortement mobilisé pour obtenir le label #frenchtech !
— La FrenchTech Rennes (@LaFTRennes) November 12, 2014
Elus, entreprises et associations se sont rangés derrière cette candidature, portée par la Cantine Numérique à Rennaise et La Cantine Brestoise – An Daol Vras. Sans attendre l'annonce d'Axelle Lemaire, la Frech Tech Rennes, qui a déjà son logo, organise sous son égide un salon de l'emploi sur le thème "la French tech recrute".
De son côté, le Président de Rennes Metropole, Emmanuel Couet, n'avait pas fait mystère d'une candidature qui, si elle n'était pas officiellement acquise, était quasi-assurée.
Une visite ministérielle avant noel pour confirmer #FrenchTechRennes #scoopaubalcon #InaugArtefacto pic.twitter.com/teY6iDAE9r
— stéphane grammont (@stefsg) October 14, 2014
Concrètement, le label French Tech donne une visibilité à l'international aux territoires qui présentent un ensemble d'entreprises et de structures dynamiques, mais c'est aussi une enveloppe de 200 millions d'euros destinée aux investissements mixtes Etat/collectivités.