Ploemeur (56) : des stars pour lancer le fonds de dotation de Kerpape

Ce lundi, plusieurs célébrités se sont rendues à Ploemeur (56). Objectif : lancer un fonds de dotation pour le centre de Kerpape.

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Omar Sy, François Cluzet et Michel Drucker étaient dans le Morbihan, ce lundi. Les trois célébrités ont visité le centre de rééducation et de réadaptation fonctionnelles de Kerpape. Objectif de cette venue : lancer un fonds de dotation pour l'établissement.

Reportage : S. Izad / P. Beaugey / P. Nau

Ce lundi, plusieurs célébrités se sont rendues à Ploemeur (56). Objectif : lancer un fonds de dotation pour le centre de Kerpape. Reportage : S. Izad / P. Beaugey / P. Nau. Interviews : - Gaël Collé, orthoprothésiste ; - Alain Yven, président du Fonds de Dotation et de la Mutualité Morbihan-Finistère ; - Michel Drucker, parrain du lancement du fonds de dotation, et présentateur.

"Soutenir notre cause, c’est définir le futur. Un avenir fondé sur un projet thérapeutique fiable et viable. Nous avons confiance en l’avenir pour concrétiser ce nouveau challenge. Cela nécessite de l’engagement de notre part, mais également de votre part, car sans vous, cela ne saurait être une réussite", justifie le Fonds Kerpape dans un communiqué.

"Il y a tellement d'innovations, sur le plan technologique, qui peuvent aider toute sorte de handicap et qui ont un coût, autant se servir de ma petite notoriété pour attirer les investisseurs" reconnaît Michel Drucker, parrain de l'opération.

Technologie de pointe

Depuis plus de cent ans, le centre Kerpape jouit d'une grande reconnaissance dans certaines disciplines (troubles neurologiques, grands brûlés, etc.).
Pour la mise en place d'uine prothèse à une personne amputée, il faut compter 26 000 euros et un mois de travail. Le matériel, à la pointe de la technologie, est également particulièrement coûteux. Pour l'acquisition d'un exosquelette, l'établissement a dû débourser 80 000 euros, financés grâce au soutien de deux mécènes.

"Nos révolutions techniques nous permettent de maîtriser l’art de bien accompagner nos patients, ces derniers pouvant compter sur nos prestations de domotique, de réalité virtuelle, de robotique, d’aide à la rééducation", indique le Fonds.

Financements

Cependant, l'établissement peine à trouver des financements pour rester en pointe et offrir la dernière technologie à ses patients. L'argent permettra de "préserver nos actions exemplaires et de trouver de l'argent en-dehors des financements publics avec des projets complets", avait indiqué Olivier Bonaventur, directeur du centre.

La plateforme de financement n'est pas encore ouverte, mais vous pouvez d'ores et déjà prendre contact avec le Fonds. L'établissement attend un apport d'un million d'euros par an sur trois ans.
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