Pour faciliter la vie nocturne des étudiants, la start-up tourangelle Weecop a innové avec un moyen de paiement sans contact fixé à un bracelet. Ses créateurs sont partis de leur propre expérience de galére de la fête étudiante.
500 bracelets en circulation sur Tours
Etanche, incassable, sécurisé, le bracelet Weecop est relié à un compte et permet de partir en soirée, sans argent liquide, ni carte bleue. "Avant de sortir, l'utilsateur va recharger son compte en fixant des limites à son budget. Il va pouvoir partir sereinement en soirée et le lendemain il n'aura pas de mauvaises surprises" explique Antoine Pecquet co-fondateur de la start-up Weecop.De leur coté, les établissements qui acceptent ce bracelet comme moyen de paiement sont assurés de capter la clientèle étudiante. Bar, restaurant et cafeteria partenaires sont géolocalisés.
A ce jour, 500 bracelets sont utilisés sur Tours, un précieux sésame de la vie nocturne qui semble donner satisfaction.
L'aventure a commencé pour les quatre jeunes tourangeaux créateurs de Weecop sur les bancs de la faculté. Eux mêmes étudiants, ils sont partis de leur propre expérience de galére de la fête étudiante.
Weecop prévoit de se développer, comme réseau communautaire autour du moyen de paiement et aussi géographiquement en s'installant dans d'autres villes étudiantes.
Pour faciliter la vie nocturne des étudiants, la start-up tourangelle Weecop a innové avec un moyen de paiement sans contact fixé à un bracelet. Ses créateurs sont partis de leur propre expérience de galére de la fête étudiante.
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