Germaine Chaumel a photographié Toulouse des années 30 au milieu des années 40. Le résultat montre un talent et un oeil rare, qui a fixé le quotidien comme les grands évènements. Une oeuvre et un personnage qu'on ne se lasse pas de découvrir et redécouvrir.
La correspondante du New York Times et de nombreux journaux locaux a immortalisé l'exceptionnel comme le banal, avec un talent rare. Un métier peu courant pour une femme à cette époque mais Germaine Chaumel montrait une rare détermination. Et beaucoup de courage lorsqu'elle photographie par exemple les allemands sur la place du Capitole alors que c'est interdit.
Une partie de ses photos est visible jusqu'au 30 septembre, dans une exposition en plein aire dans l'écoquartier Andromède à Blagnac