Comme six autres universités d'Île-de-France, l'Université Sorbonne Paris Cité a participé lundi au concours 2016 "Ma thèse en 180 secondes". Une doctorante de Paris-Diderot a remporté l'épreuve avec sa thèse sur le biomimétisme.
Trois minutes, montre en main, pour faire comprendre au grand public son sujet de thèse. Pas simple comme défi. Un challenge pourtant relevé, le plus souvent avec brio, par les candidats au concours "Ma thèse en 180 secondes".
Cette compétition fait appel au sérieux scientifique des candidats, tous doctorants, mais aussi à leur sens de la concision... Voire à leur sens de l'humour. Car il en faut sans doute pour expliquer les sujets abordés dont les seuls intitulés suffisent souvent à nous décourager d'aller plus loin. L'objectif, précisément, de ces exercices en 180 secondes est de nous prouver que ce premier jugement que nous avons tous en lisant ces titres de thèse est totalement injuste et injustifié !
Cette année, "Ma thèse en 180 secondes", déjà bien installé dans la communauté universitaire, s'invite chez vous, grâce à France 3. Avec France 3 Paris Île-de-France, vous avez pu suivre la finale régionale de l'université Sorbonne Paris Cité. Cette année, c'est Charlotte Rassern étudiante en deuxième année de thèse à l'université Paris-Diderot qui a remporté la compétition. Elle est venu présenter sa thèse : "Biomimétisme et bioingénierie : évaluation in vitro et in vivo de la biocompatibilité apportée par l'immobilisation d'un peptide dérivé du CD31 à la surface de biomatériaux endovasculaires."
Félicitations à Charlotte Rasser, étudiante en 2e année de thèse à Paris Diderot, qui obtient le premier prix de #MT180 de l'USPC !
— Univ Paris Diderot (@ParisDiderot) 18 avril 2016