A Turin, le samedi 10 novembre 2018 restera gravé dans toutes les mémoires. Pour la première fois dans l’histoire (compliquée) du projet de TGV Lyon-Turin, ses partisans turinois sont descendus dans la rue.

A Turin, le samedi 10 novembre 2018 restera gravé dans toutes les mémoires. Pour la première fois dans l’histoire (compliquée) du projet de TGV Lyon-Turin, ses partisans turinois sont descendus dans la rue. En l’occurrence, sur la place principale de la ville.

Depuis des années, ce sont plutôt les fameux "No Tav", les opposants au futur grand tunnel de base de 57 kilomètres sous les Alpes franco-italiennes qui se font entendre.

Or là, quelques jours seulement après que la maire de la ville ait décidé de faire officiellement de la capitale du Piémont, une ville "No Tav" (opposante au futur TGV), ce sont 40 000 turinois qui se sont rassemblés sur la piazza Castello pour se déclarer ouvertement "Si Tav" (favorables au Lyon-Turin). Une mobilisation massive qui a surpris toute l'Italie.

Notre équipe a rencontré quelques-uns des acteurs de cette mobilisation pour tenter d'expliquer un phénomène, qui, vous allez le voir, va bien au-delà du simple dossier ferroviaire.
 


Dans notre zapping, les soupes vendues par le supermarché suisse Migros confrontée à la "thérorie du genre", et puis la mort tragique d'un lycéen en salle de classe devenue symbole italien du laisser-aller dans l'entretien des bâtiments publics et scolaires en particulier.


 

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