L'Olympique Lyonnais, avant une double confrontation avec le Zenit Saint-Pétersbourg, occupe la 3e place du groupe H avec 1 point, à égalité avec l'équipe belge de La Gantoise, après sa défaite hier soir contre Valence (0-1) à Gerland.
Lyon, dominateur mais stérile, s'est mis en mauvaise posture pour la qualification pour les 8e de finale de la Ligue des champions en s'inclinant (1-0), mardi à Gerland, face à Valence, qui s'est montré plus mature dans ce match de la 2e journée.
L'OL, toujours handicapé par l'absence de nombreux joueurs (Fekir, Yanga-Mbiwa,Bedimo, Rafael, Grenier), avait choisi, samedi dernier, de ménager plusieurs titulaires dont Alexandre Lacazette, Milan Bisevac, Sergi Darder et Maxime Gonalons notamment, pour le match de championnat perdu à Bordeaux (3-1) afin de conserver de la fraîcheur pour affronter Valence.
Au final, les Lyonnais, aux résultats irréguliers et toujours en quête de cohésion, ont fait chou blanc sur toute la ligne, et il apparaît désormais quasiment impératif, pour se relancer, de l'emporter samedi à Gerland contre Reims, juste avant la trêve internationale. Si Lyon a semblé bien débuter la rencontre, Valence, bête noire des clubs français en coupes européennes depuis 35 ans (notamment de Monaco en barrages en août dernier), a su garder le contrôle du match et a affiché une réelle solidité en défense.
Les Espagnols ont, en outre, su profiter d'une certaine naïveté de leurs adversaires, notamment pour prendre un avantage décisif par Sofiane Feghouli d'un tir passant juste en dessous de la barre transversale après un centre délivré de l'aile gauche par Pablo Piatti (42). A l'origine de l'action, les Valencians avaient rapidement joué un coup franc à hauteur de la ligne médiane pendant que les Lyonnais contestaient encore auprès de l'arbitre et que le remplacement par Jordan Ferri de Darder, blessé à un genou, tardait à être opéré, contribuant encore un peu plus au déséquilibre de l'organisation
de l'OL à ce moment de la partie.
L'OL, toujours handicapé par l'absence de nombreux joueurs (Fekir, Yanga-Mbiwa,Bedimo, Rafael, Grenier), avait choisi, samedi dernier, de ménager plusieurs titulaires dont Alexandre Lacazette, Milan Bisevac, Sergi Darder et Maxime Gonalons notamment, pour le match de championnat perdu à Bordeaux (3-1) afin de conserver de la fraîcheur pour affronter Valence.
Au final, les Lyonnais, aux résultats irréguliers et toujours en quête de cohésion, ont fait chou blanc sur toute la ligne, et il apparaît désormais quasiment impératif, pour se relancer, de l'emporter samedi à Gerland contre Reims, juste avant la trêve internationale. Si Lyon a semblé bien débuter la rencontre, Valence, bête noire des clubs français en coupes européennes depuis 35 ans (notamment de Monaco en barrages en août dernier), a su garder le contrôle du match et a affiché une réelle solidité en défense.
Les Espagnols ont, en outre, su profiter d'une certaine naïveté de leurs adversaires, notamment pour prendre un avantage décisif par Sofiane Feghouli d'un tir passant juste en dessous de la barre transversale après un centre délivré de l'aile gauche par Pablo Piatti (42). A l'origine de l'action, les Valencians avaient rapidement joué un coup franc à hauteur de la ligne médiane pendant que les Lyonnais contestaient encore auprès de l'arbitre et que le remplacement par Jordan Ferri de Darder, blessé à un genou, tardait à être opéré, contribuant encore un peu plus au déséquilibre de l'organisation
de l'OL à ce moment de la partie.
Deux fois la barre pour Lyon et Valence
Pourtant, les Lyonnais peuvent revendiquer des occasions avec un coup franc de Mathieu Valbuena détourné par le gardien Jaume Domenech sur la barre (27) alors qu'une tentative de Lacazette était déviée, également sur la barre, par Aymen Abdennour (45+1).
Au début de la seconde période, dominée dans son ensemble par Lyon, sans qu'il ne se montre efficace face à l'excellente défense des Valencians, un nouveau tir de Lacazette était repoussé par Domenech (47), seule opportunité des hommes d'Hubert Fournier après la mi-temps. Avant deux ultimes belles occasions dans le temps additionnel de Corentin Tolisso et Samuel Umtiti, sur lesquelles le gardien de Valence sortait le grand jeu (90+2).
De son côté, le FC Valence aurait aussi pu marquer sur une reprise de la tête de Shkodran Mustafi passant de peu à côté (10), ou encore sur un tir de Piatti repoussé par Anthony Lopes (17) alors qu'une reprise de la tête d'Abdennour heurtait la barre à la réception d'un corner (35), tout comme une tentative de Feghouli
Au début de la seconde période, dominée dans son ensemble par Lyon, sans qu'il ne se montre efficace face à l'excellente défense des Valencians, un nouveau tir de Lacazette était repoussé par Domenech (47), seule opportunité des hommes d'Hubert Fournier après la mi-temps. Avant deux ultimes belles occasions dans le temps additionnel de Corentin Tolisso et Samuel Umtiti, sur lesquelles le gardien de Valence sortait le grand jeu (90+2).
De son côté, le FC Valence aurait aussi pu marquer sur une reprise de la tête de Shkodran Mustafi passant de peu à côté (10), ou encore sur un tir de Piatti repoussé par Anthony Lopes (17) alors qu'une reprise de la tête d'Abdennour heurtait la barre à la réception d'un corner (35), tout comme une tentative de Feghouli