Une manifestation participative destinée aux femmes entrepreneures aura lieu ce vendredi 23 juin 2017 à partir de 10h00 à Dijon dans le quartier des Grésilles et c’est déjà complet !
Depuis quelques années, des femmes auto-entrepreneures décident de se réunir pour partager leur expérience un peu partout en France.
A Dijon, chaque année depuis 4 ans, K’Elles Energies, une association à la fois bourguignonne et franc-comtoise, s’occupe du bien être des femmes qui osent dire "oui" à l’auto-entrepreneuriat.
La présidente de l’antenne de Dijon, Laurence Berthoud Lafarge, explique les objectifs, la raison d’être de cette association et l’opération mise en place pour les cheffes d'entreprise.
#Entreprendre au féminin avec les Entrepren'heureuses 2017 https://t.co/fYOfKcQFw7 #Bourgogne
— J'aime Dijon (@jaimedijon) 8 juin 2017
Les entrepren’heureuses 2017
La 4e édition des entrepren’heureuses porte bien son nom. « Apporter du réconfort et rassurer, c’est le but de cette manifestation participative, les entrepren’heureuses sont une récréation. Nous pouvons discuter de nos doutes et de nos peurs».
Parmi les activités proposées au cours de cette journée, un speed dating entre entrepreneures pour mieux apprendre à se connaître.
« Cela permet de créer un réseau et c’est très important pour les femmes qui portent un projet et qui se sentent parfois isolées ».
Comment s’inspirer de la réussite au féminin ? C'est le thème de cette année. Des personnalités politiques et du monde de l’entreprise interviendront pour livrer leur témoignage.
Rompre l’isolement de la cheffe d’entreprise
« Nous voulons aider à rompre l’isolement des femmes auto-entrepreneures. Partager son vécu avec d’autres femmes porteuses d’un projet permet de se rassurer ».
Eh oui, car l’association ne s’occupe pas que des femmes qui souhaitent ou qui ont créé leur boîte. « Nous accompagnons toutes les femmes qui ont un projet, petit ou grand ».
Détail amusant, chaque année, quelques hommes entrepreneurs viennent participer à l’aventure. « Nous les acceptons s’ils viennent, on ne va quand même pas les refouler… »