Janvier 2014. La chapelle Notre-Dame du Haut, à Ronchamp, est vandalisée. Un vitrage, signé Le Corbusier, est brisé. Février 2015, le tribunal correctionnel de Vesoul condamne un homme de 31 ans pour ces faits.
Un vitrage de la chapelle "Le Corbusier" détruit, le tronc de quête arraché et une tentative d'effraction de la boutique et de la bibliothèque. Les faits remontent à janvier 2014, à Ronchamp, en Haute-Saône.
Un an plus tard, le tribunal correctionnel de Vesoul a donc condamné un homme de 31 ans à un an de prison ferme. Il ne s'est pas présenté devant le tribunal : la condamnation a été assortie d'un mandat d'arrêt.
Le coût des réparations du vitrail n'a pas encore été évalué. La justice fixera le montant des dommages et intérêts à une date ultérieure. Une décision difficile à prendre : comment estimer le prix d'une oeuvre d'art, sans doute définitivement perdue ? Le vitrail était le seul signé de la main par Le Corbusier.