C'est le temps des moissons en Bretagne, une région où les exploitations ne produisent qu'un tiers des céréales qu'elles consomment… et où les rendements cette année ne sont pas très élevés.
LaCe weekend dans le bassin rennais c'était le dernier jour des moissons pour le blé…l'occasion de se pencher sur les rendements de cette année 2012..une année pas très favorable à la pousse des grainsLa barre de coupe au plusLa barre de coupe au plus prés du sol…c'est sous un soleil de plomb qu'eric lemétayer fauche sa dernière parcelle de blé de l'année…Agriculteur il moissonne aussi pour les autres avec sa machine… essentiellement dans le bassin rennais… une terre habituellement très favorable à la pousse….mais cette année il à jonglé entre les gouttes pour récolté le blé...et les rendements ne sont pas vraiment au rendez vous
Le temps des moissons touche à sa fin... En Bretagne les exploitations produisent seulement un tiers des céréales qu'elles consomment…alors le moment est important et le cours des céréales aussi.
Or l'année 2012 n'a pas été très favorable à la pousse des grains...
Les rendements sont très variables sur l'ensemble de la région, avec des disparités liées à la pluviométrie, l'ensoleillement et la qualité du sol…
Or l'année 2012 n'a pas été très favorable à la pousse des grains...
Les rendements sont très variables sur l'ensemble de la région, avec des disparités liées à la pluviométrie, l'ensoleillement et la qualité du sol…
Pourtant la douceur automnale était plutôt prometteuse pour la pousse du grain… mais les quantités d'eaux tombées après, ont tout gâché.
Les rendements sont donc assez faibles.
Du coup on pourrait s'attendre à une chûte des revenus pour les céréaliers… iI n'en est rien, car les cours s'envolent au niveau international, en raison des mauvaises récoltes aux Etats-Unis et en Ukraine ainsi que de la spéculation sur les denrées alimentaires. Ce sont donc les éleveurs qui risquent de payer la facture… car le prix de l'aliment pour bétail par ricochet, pourrait lui aussi flamber...
Interviews :
- Eric Lemétayer, agriculteur
- Julien Parelon, conseiller en Agronomie - Chambre d'Agriculture
- Eric Lemétayer, agriculteur
- Julien Parelon, conseiller en Agronomie - Chambre d'Agriculture
Ce weekend end dans le bassin rennais c'était le dernier jour des moissons pour le blé…l'occasion de se pencher sur les rendements de cette année 2012..une année pas très favorable à la pousse des grains Ce weekend dans le bassin rennais c'était le dernier jour des moissons pour le blé…l'occasion de se pencher sur les rendements de cette année 2012..une année pas très favorable à la pousse des grains
itw
Un constat qui s'établit sur l'ensemble de la Bretagne…avec des disparités liées à la pluviométrie l'ensoleillement et la qualité du sol… Au final un déficit un peu plus fort en centre bretagne
Pourtant la douceur automnale était prometteuse pour la pousse du grain…mais les quantités d'eaux tombées après n'ont rien arrangée
itw
Concrètement le grain de blé est un peu plus fluet, moins lourd que les années précédentes……du coup pour une même quantité fauché l'agriculteur touche moins…mais un autre facteur la variété de blé explique aussi cette baisse de rendement
itw
Du coup on pourrait s'attendre à une chute des revenus pour les céréaliers…mais il n'en est rien…car les cours s'envolent au niveau international…en cause les mauvaises récoltes aux états unis et la spéculation sur les denrées alimentaires. Ce sont donc les éleveurs qui risquent de payer la facture…car le prix de l'aliment pour bétail va lui aussi par ricochet flamber prés du sol…c'est sous un soleil de plomb qu'eric lemétayer fauche sa dernière parcelle de blé de l'année…Agriculteur il moissonne aussi pour les autres avec sa machine… essentiellement dans le bassin rennais… une terre habituellement très favorable à la pousse….mais cette année il à jonglé entre les gouttes pour récolté le blé...et les rendements ne sont pas vraiment au rendez vous
itw
Un constat qui s'établit sur l'ensemble de la Bretagne…avec des disparités liées à la pluviométrie l'ensoleillement et la qualité du sol… Au final un déficit un peu plus fort en centre bretagne
Pourtant la douceur automnale était prometteuse pour la pousse du grain…mais les quantités d'eaux tombées après n'ont rien arrangée
itw
Concrètement le grain de blé est un peu plus fluet, moins lourd que les années précédentes……du coup pour une même quantité fauché l'agriculteur touche moins…mais un autre facteur la variété de blé explique aussi cette baisse de rendement
itw
Du coup on pourrait s'attendre à une chute des revenus pour les céréaliers…mais il n'en est rien…car les cours s'envolent au niveau international…en cause les mauvaises récoltes aux états unis et la spéculation sur les denrées alimentaires. Ce sont donc les éleveurs qui risquent de payer la facture…car le prix de l'aliment pour bétail va lui aussi par ricochet flamber barre de coupe au plus prés du sol…c'est sous un soleil de plomb qu'eric lemétayer fauche sa dernière parcelle de blé de l'année…Agriculteur il moissonne aussi pour les autres avec sa machine… essentiellement dans le bassin rennais… une terre habituellement très favorable à la pousse….mais cette année il à jonglé entre les gouttes pour récolté le blé...et les rendements ne sont pas vraiment au rendez vous
itw
Un constat qui s'établit sur l'ensemble de la Bretagne…avec des disparités liées à la pluviométrie l'ensoleillement et la qualité du sol… Au final un déficit un peu plus fort en centre bretagne
Pourtant la douceur automnale était prometteuse pour la pousse du grain…mais les quantités d'eaux tombées après n'ont rien arrangée
itw
Concrètement le grain de blé est un peu plus fluet, moins lourd que les années précédentes……du coup pour une même quantité fauché l'agriculteur touche moins…mais un autre facteur la variété de blé explique aussi cette baisse de rendement
itw
Du coup on pourrait s'attendre à une chute des revenus pour les céréaliers…mais il n'en est rien…car les cours s'envolent au niveau international…en cause les mauvaises récoltes aux états unis et la spéculation sur les denrées alimentaires. Ce sont donc les éleveurs qui risquent de payer la facture…car le prix de l'aliment pour bétail va lui aussi par ricochet flamber