Avec ses 3200 licenciés et ses 32 journées de compétition par an, la Bretagne incarne une terre d’endurance équestre. C’est même LA région française de référence. Peu à peu, cette discipline se professionnalise, sur fond de compétitions et transactions.
Reportage
C'est au sein de l'élevage des chevaux d’Arvor , à Saint-Gilles-Pligeaux (22) que l'on trouve les meilleurs chevaux mondiaux d'endurance. C'est aussi ici que l'on peut croiser des cavaliers de haut niveau comme Yvon Ollivier et Denis Le Guillou.
A. Masteau, JM. Piron, M. Le Carrour, B. Thibaut, J. Le Quiniou
Rencontre
Jean-Marie et Jérémie Ollivier, les fils d’Yvon ont repris l'élevage. Père et fils ont toujours fonctionné ensemble, chacun apportant sa pierre à l'édifice. Les passionnés du monde entier viennent ici acheter des chevaux qu'ils entraînent pendant des heures. Les compétitions permettent de mettre en lumière les capacités des bêtes. Depuis plusieurs années, l'endurance s'est professionalisée. Dans la région, la frontière entre les Côtes d’Armor et le Finistère représente une zone où se concentrent de nombreuses épreuves. Et déjà en 1998, le niveau apparaissait élevé.
A. Masteau, JM. Piron, M. Le Carrour, B. Thibaut, J. Le Quiniou