Algues vertes. La justice prononce un non-lieu dans l’affaire Morfoisse

Le décès d’un chauffeur ayant transporté des algues vertes ne sera pas un accident du travail. La justice a prononcé un non-lieu, ne retenant pas de lien direct entre le décès de Thierry Morfoisse et son intoxication provoquée par des algues vertes.

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Les experts mandatés par les magistrats instructeurs de l’affaire Morfoisse n’ont pas établis la preuve d’une intoxication au gaz dû la putréfaction d’algues vertes.

Thierry Morfoisse était chargé d’en transporter régulièrement. Il est mort d’un infarctus du myocarde le 22 juillet 2009.

Selon la famille de la victime et plusieurs scientifiques, l’hydrogène sulfuré émanant d’algues vertes en putréfaction peut-être mortel en cas d’exposition prolongée.

"En l’absence de prélèvements fiables permettant de doser le taux d’hydrogène sulfuré dans le sang " précise le prononcé du non-lieu, "la preuve du lien de causalité entre son exposition à ce gaz et son décès ne peut être rapporté".

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information