L'avenir du rail en Bretagne au menu de la session budgétaire du Conseil régional

1,538 milliard d'euros. Tel est le montant de l'enveloppe à l'étude durant trois jours au Conseil régional de Bretagne. Au cœur des débats, ce jeudi 15 février : le pacte d'accessibilité et tout particulièrement, l'avenir du rail et de la LGV au-delà de Rennes.

L'essentiel du jour : notre sélection exclusive
Chaque jour, notre rédaction vous réserve le meilleur de l'info régionale. Une sélection rien que pour vous, pour rester en lien avec vos régions.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Durant trois jours, les élus du Conseil régional ont de nombreux sujets à aborder : budget (l'enveloppe présentée est de 1 milliard 500 millions d'euros) mais aussi le haut débit, la politique territoriale, la stratégie touristique... Pour Loïg Chesnais-Girard, cette session budgétaire est une première en tant que président de l'hémicycle.

Les débats ont commencé ce jeudi 15 février autour du "pacte d'accessibilité". Un sujet d'actualité avec l'abandon, annoncé mi-janvier du projet d'aéroport sur le site de Notre-Dame des Landes. La Bretagne veut aller de l'avant sur l'achèvement de la RN164, le développement des plateformes aéroportuaires et du rail.

Au cœur des débats : la Ligne à Grande Vitesse. Certes la LGV a rapproché Rennes de Paris depuis début juillet, mais après ? "Nous avons déjà réalisé un investissement conséquent : les collectivités de Bretagne se sont engagées financièrement. Pour la région c’est 600 millions d’euros qui permettent aujourd'hui de gagner les 45 minutes. C’est un actif déjà très fort !" défend le Président du Conseil régional.

Sauf que de nombreuses questions restent à régler. Celle notamment de la desserte à grande vitesse au-delà de Rennes. Quimper et Brest veulent être à 3 heures de Paris. Main dans la main, les élus finistériens ne veulent pas rester à quai. Le 7 mars, ils prévoient de mener la "bataille du rail" à Paris alors que vient de paraître le rapport Spinetta qui montre du doigt les lignes les moins rentables. 



Retour dans le détail, sur le premier budget présenté par Loïg Chesnais-Girard, en tant que président :

Une enveloppe globale d’1,538 milliard d'euros est présentée, avec un objectif de réduction d’au moins 1% de la part de fonctionnement. Cela pose des questions, alors que la région emploie près de 4.000 agents.







Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information