Une délégation d'une cinquantaine d'élus finistériens a pris le train tôt ce mercredi matin, direction Paris pour se faire entendre sur le dossier de la LGV et obtenir des garanties sur le désenclavement de leur département.
Une cinquantaine d'élus finistériens ont pris le départ pour Paris ce mercredi 7 mars pour défendre le département sur le dossier de la LGV. Issus de tout bord politique, ils doivent prononcer un discours à la Maison de la Bretagne et être reçus en fin de journée au Sénat. Tous arborent une écharpe bleue, une manière symbolique d'afficher leur union.
#Objectif3h : mettre #Brest & #Quimper à trois heures de #Paris est vital pour le développement économique et social du département. pic.twitter.com/hSrcvNzyPY
— Maël de Calan (@MaeldeCalan) March 7, 2018
3 h 30 c'est encore trop
Les Finistériens entendent réaffirmer qu'ils sont prêts pour la bataille du rail et que l'objectif d'une liaison Paris Quimper - Brest à 3 heures est indispensable pour le développement du département. Pour Nathalie Sarrabezolles, présidente du Conseil départemental du Finistère, il est temps de concrétiser les démarches entamées.
Si l''union sacrée se matérialise aujourd'hui à Paris, elle se prépare depuis quelques semaines déjà.