Pour tenter de stopper les dégradations sur les radars automatiques, la gendarmerie surveille. C'est la nuit que les plus gros moyens sont mobilisés. Nos équipes ont suivi les patrouilles.
Ce soir-là, une vingtaine d'hommes vont surveiller les radars automatiques autour de Rennes. Ils installent des postes de surveillance discrets, à proximité des radars. Des planques afin de prendre en flagrant délit ceux qui voudraient incendier les machines. Cette surveillance à terre est renforcée par une patrouille aérienne.
L'hélicoptère EC 135 de la section aérienne de la gendarmerie de Rennes survole l'agglomération. Sa caméra infrarouge lui permet d'observer les mouvements de personnes, de véhicules ou les objets fixes comme les radars, à plusieurs kilomètres de distance.