Le chantier naval de voiliers haut de gamme avait été repris il y a un an par le vendéen Alubat. Sans résultat.
Le tribunal de commerce devrait prononcer sa liquidation judiciaire ce vendredi. Les 22 salariés ne s'attendaient pas à cette issue, même si depuis quelques mois le chantier était désert. Décision lundi.
"Alubat avait promis la construction d'un navire qui n'est jamais venu" a expliqué le délégué du personnel. Des mesures de chômage partiel avait été prises début septembre.