Stupéfiants : 900 000 euros de cannabis saisis, un trafic démantelé dans le Loiret

Cinq personnes ont été interpellées à la fin du mois de février. Elles auraient participé à un trafic de cannabis depuis l'Espagne, à direction du Centre-Val de Loire. 117 kilos de résine de cannabis ont été saisis à Biarritz.

Société
De la vie quotidienne aux grands enjeux, découvrez les sujets qui font la société locale, comme la justice, l’éducation, la santé et la famille.
France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "Société". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Fin de course pour un trafic de cannabis, qui arrosait le Centre-Val de Loire. Deux voitures, l'une ouvrant la marche et l'autre transportant 117 kilos de résine de cannabis, ont été interceptées le 22 février à Biarritz, dans les Pyrénées-Atlantiques. Valeur de la saisie : 900 000 euros à la revente. Deux conductrices et une passagère ont été interpellées.

Selon un communiqué de presse du procureur de Montargis, Jean-Cédric Gaux, une enquête était ouverte le 22 décembre 2023 par l'antenne OFAST (office anti-stupéfiants) de la police judiciaire d'Orléans. Les investigations concernaient deux femmes de Gien, qui participeraient "à des importations illicites de résine de cannabis à destination de la région Centre-Val de Loire". En particulier Montargis, Gien, Bourges et Tours.

Un cinquième suspect interpellé

Après ouverture d'une enquête préliminaire du parquet de Montargis, les investigations identifient plusieurs convois venus d'Espagne, chargés en cannabis. Toujours selon le communiqué, le convoyage durait depuis plusieurs mois, et alimentait de nombreux points de deal de la région.

Les trois femmes interceptées à Bayonne, ainsi qu'une quatrième, possible complice arrêtée à Gien, ont été présentées au parquet du tribunal judiciaire de Montargis, et mises en examen dans le cadre d'une information judiciaire. Trois ont été placées en garde à vue, et la dernière mise sous contrôle judiciaire. Un homme, qui serait "lié au réseau", a été interpellé quelques jours plus tard, le 27 février. Il a été mis en examen et placé en détention provisoire dans la foulée de sa garde à vue.

Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Tous les jours, recevez l’actualité de votre région par newsletter.
Veuillez choisir une région
France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter de votre région. Vous pouvez vous désabonner à tout moment via le lien en bas de ces newsletters. Notre politique de confidentialité
Je veux en savoir plus sur
le sujet
Veuillez choisir une région
en region
Veuillez choisir une région
sélectionner une région ou un sujet pour confirmer
Toute l'information