Philippe Boutron, le président de l'US Orléans espère très prochainement une reprise de l'US Orléans. Il affirme que les négociations sont totalement rompues avec Péguy Luyindula, sans retour en arrière possible.
La date butoir se rapproche et l'avenir de l'US Orléans reste toujours aussi incertain. Sous la menace d'une rétrogradation en N2 à titre conservatoire par DNCG, les dirigeants de l'USO doivent trouver deux millions d'euros pour sauver le club d'ici la fin du mois d'avril.
"Les engagements pris n'ont pas été tenus"
Très rapidement, un nom est sorti pour la reprise du club. Celui de Péguy Luyindula, ex-international français qui a grandi à Gien dans le Loiret. Tout semblait ficelé ou presque entre l'ancien joueur accompagné d'investisseurs américains et Philippe Boutron, l'actuel président de l'US Orléans. Pourtant, les négociations ont été totalement rompues. "Les engagements pris n'ont pas été tenus. On est tenu par un accord de confidentialité donc je ne peux pas donner de détails", avance Philippe Boutron.
Ma principale préoccupation, c'est la pérennité du club, de faire en sorte que les 75 emplois et les 600 licenciés puissent continuer dans de bonnes conditions. Voilà la priorité des éléments de négociations.
Philippe Boutron, président de l'US Orléans.
Un repreneur français ?
Pour autant, le président orléanais assure être "en négociations avec plusieurs investisseurs ou repreneurs potentiels", sans préciser le nombre de dossiers en course. Selon lui, les potentiels repreneurs sont français. Philippe Boutron précise avoir "bon espoir que tout puisse être finalisé fin mars, début avril".
Des négociations actuellement "au même niveau" que celles entamées avec Péguy Luyindula avant d'être rompues.