Luis Enrique, le coach parisien, s'était inquiété avant le match contre l'USO, ce samedi 20 janvier, de l'état de la pelouse orléanaise, remplacée à la hâte deux jours plus tôt. Après la rencontre, il a tenu a faire son mea culpa.
C'était la saga de l'hiver dans le milieu du football orléanais : qu'allait devenir la pelouse du stade de La Source, criblée de morceaux de verre après une erreur lors d'une opération de sablage au mois de décembre. Suspense encore renforcé lorsque l'US Orléans a pioché le PSG pour les 16e de finale de la Coupe de France.
"Je félicite Orléans" : L'entraîneur du PSG, Luis Enrique, fait son mea culpa après le match contre l'USO
— France 3 Centre-Val de Loire (@F3Centre) January 21, 2024
Il y a deux jours, il avait considéré que le changement de pelouse du stade de La Source faisait peser un "risque pour les joueurs"https://t.co/TDLJkByZsl pic.twitter.com/ts17eDb97o
Finalement, ce samedi 20 janvier, le match a pu se jouer sans problème, après un remplacement de dernière minute de la pelouse. Un match au cours duquel le PSG s'est imposé 4-1. "J'étais très inquiet, je ne pensais pas que ça donnerait ça, je dois féliciter Orléans et les jardiniers qui ont fait en sorte qu'on puisse jouer un match dans de bonnes conditions", a réagi l'entraîneur du club parisien, Luis Enrique, au micro de France 3 après la rencontre.
"Mon inquiétude n'était pas légitime"
Car le coach espagnol s'était montré particulièrement frileux avant le match, estimant en conférence de presse ce vendredi 19 que ce changement à la hâte pouvait représenter "un risque pour les joueurs". Finalement, "il n'y a eu aucun risque pour les joueurs, et on a pu voir un beau spectacle". "Mon inquiétude n'était pas légitime", a-t-il reconnu.
Marquinhos, défenseur central du Paris-Saint-Germain, a lui aussi reconnu que son équipe "attendait un pire état de la pelouse, qui a pourtant "réussi à être en bonne condition à temps". Malgré sa peur de voir la pelouse "se décaler" sous les appuis des joueurs, "ça a bien tenu, ça n'a pas été un problème". Petite victoire malgré la défaite pour Orléans.
Avec Valérie Labonne.