La désertification médicale ne concerne plus que les zones rurales. Elles concernent également certaines zones urbaines. En région Centre Val de Loire, c'est même devenue une préoccupation majeure.
Dix communes de l'agglomération orléanaise ont conjointement ratifié un contrat local de santé (CLS), vendredi 25 novembre : Boigny-sur-Bionne, Chécy, La Chapelle Saint Mesmin, Olivet, Sain Jean de Braye, Saint Jean de la Ruelle, Saint Jean le Blanc, Semoy avec Orléans et Fleury-les-Aubrais.En zone urbaine aussi
Les zones rurales étaient jusque-là les plus touchées. Certaines zones urbaines le sont également. En région Centre Val de Loire, la désertification médicale est devenue une préoccupation majeure. La démographie médicale y est l'une des plus défavorables de France.Orléans s'est doté d'un CLS dès 2011, rejoint ensuite en 2015 par Fleury-les-Aubrais qui en assure depuis la coordination.
Une offre de santé de proximité
Le CLS se veut un outil pour décliner, sur le territoire local, la politique régionale de santé. Il doit permettre de développer une offre de santé de proximité et ainsi réduire les inégalités sociales et territoriales.
La désertification médicale ne concerne plus que les zones rurales. Elles concernent également certaines zones urbaines. En région Centre Val de Loire, c'est même devenue une préoccupation majeure. Dix communes de l'agglomération orléanaise ont conjointement ratifié un contrat local de santé (CLS), vendredi 25 novembre : Boigny-sur-Bionne, Chécy, La Chapelle Saint Mesmin, Olivet, Sain Jean de Braye, Saint Jean de la Ruelle, Saint Jean le Blanc, Semoy avec Orléans et Fleury-les-Aubrais.
Bien qu'il s'agisse d'une prérogative de l'Etat, de plus en plus de municipalités utilisent ce dispositif pour lutter contre la désertification médicale. Intervenants : Olivier Carré, maire d'Orléans - Christophe Chaillou, maire de Saint-Jean-de-La-Ruelle.
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