Le baccalauréat, diplôme de référence, est toujours très convoité par les jeunes, et par les...moins jeunes !
C'est ainsi que Gisèle, gardienne d'immeuble, bûche depuis plus de deux ans pour passer et tenter d'obtenir le précieux document.
Le baccalauréat
"Passe ton Bac, après tu feras ce que tu voudras".
Cette litanie, des milliers de jeunes des générations passées ont pu l'entendre de la bouche de leurs parents.
Car le Bac, c'est quelque chose.
Le pied à l''étrier pour les études en faculté, ou tout simplement à la vie professionnelle.
Ainsi, depuis sa création et son existence officielle par un décret du... 17 mars 1808, ll a fait rêver des millions de lycéens.
Des lycéens qui se préparent en amont, révisent, rédigent des fiches, apprennent par coeur, mangent des bonbons, des barres de céréales, boivent des boissons énergétiques pour se présenter "gonflés à bloc" et galvanisés le "Jour J".
La première femme bachelière, la Vosgienne Julie-Victoire Daubié
Le Jour J où les candidats arrivent le ventre noué pour la plupart, en totale dilettante pour d'autres, très concentrés pour certains, avant d'affronter les fameuses "épreuves". Lesquelles sont soigneusement organisées par le ministère de l'Education Nationale comme indiqué dans la vidéo ci-dessous.
L'organisation du baccalauréat par EducationFrance
Gisèle
Alors, ce précieux sésame continue à faire rêver, même les adultes, qui, pour certains ont arrêté depuis longtemps leurs études, et décident de se présenter en "candidats libres".
Gisèle fait partie de ces candidats qui manifestent le même enthousiasme et le même stress à l'approche des épreuves.
Actuellement gardienne d'immeuble dans une résidence pour sénior, elle bûche depuis plus de deux ans pour réviser, intégrer les nouveaux programmes, et mettre toutes les chances de son côté.
Avec en filigrane le désir de pouvoir ENFIN posséder le précieux diplôme si convoité.