En juillet 2019, une nouvelle plainte était déposée visant Nordhal Lelandais. La victime présumée, originaire des Ardennes, accusait son grand cousin d'attouchements en mars 2017. Ce jeudi 27 février, il a été entendu par un juge d'instruction à Charleville-Mézières.
"Elle l'a fait pour que ses petites cousines sachent qu'elles ne sont pas seules." C'est ce que déclarait l'avocate Caroline Rémond à France 3 Champagne-Ardenne en juillet 2019. A ce moment-là, une nouvelle plainte était déposée par une Ardennaise à l'encontre de Nordhal Lelandais, déjà mis en examen pour le meurtre de la petite Maëlys en août 2017 en Isère, ainsi que des agressions sexuelles sur deux petites cousines âgées de 4 et 6 ans la même année. Après avoir été extrait de sa cellule iséroise mercredi 26 février, il a été entendu ce jeudi 27 février par un juge d'instruction à Charleville-Mézières. Il a été mis en examen pour agression sexuelle.La victime présumée âgée de 14 ans au moment des faits
Vendredi 7 février dernier, Nordhal Lelandais a été placé en garde à vue à la suite de cette plainte. L'adolescente dénonce des attouchements lors de l'enterrement de son père qui a eu lieu en mars 2017, de la part de son "grand cousin". Ce dernier aurait alors menacé de la tuer si elle révélait quoique ce soit. Elle n'avait alors que 14 ans.Après deux ans de silence, elle a décidé de porter plainte pour agression sexuelle et menaces de mort. Au micro de BFM TV, elle affirmait que c'étaient les agressions de ses deux petites cousines qui l'avaient poussée à porter plainte.
Selon l'AFP, ce sont les gendarmes de la section de recherche de Reims qui entendent le mis en cause.