Daniel Masoni, le président de l'Estac, accorde "un délai de la dernière chance", jusqu'au vendredi 7 octobre, à l'investisseur américain Gary Allen pour trouver les fonds nécessaires au rachat du club troyen.
Le premier délai imparti, mi-septembre, avait déjà été repoussé jusqu'au 30 septembre à la demande de Gary Allen. Mais cela n'a rien changé au problème : l'homme d'affaires de Portland ne semble plus en mesure de racheter le club aubois de Ligue 2.
Réponse définitive ce vendredi 7 octobre. Sauf coup de théâtre, l'aventure américaine n'aura pas de suite.