La crise est partout. L'Eglise n'est pas épargnée. Au diocèse de Châlons-en-Champagne, il risque de manquer 150.000 euros.
De plus, l'Evêché doit assurer l'animation des "pastorales", autrefois accomplie par des prêtres. Crise de vocation oblige, il faut faire appel à de jeunes prêtres étrangers, qui eux aussi représentent une charge financière.
"Il faut un clergé jeune qui nous aide et nous mène vers l'avenir"
La situation du diocèse de Châlons-en-Champagne n'est pas un cas isolé. Sur l'ensemble du territoire, il y a moins de donateurs.
Monseigneur Gilbert Louis, évêque de Châlons-en-Champagne espère que les bienfaiteurs de l'Eglise pourront apporter leur contribution avant le 31 décembre.