Donner son sang pour sauver des vies

Le don du sang est toujours aussi primordial. Comme pour une piqure de rappel, cette semaine nous le rappelle avec de nombreuses actions et d'animations et en point d'orgue la journée de mercredi prochain.

Que ce soit dans le monde, au niveau national ou local, le fait de donner son sang est toujours aussi primordial. Les français l'ont bien compris. 56% d'entre eux ont déjà donné, bien aidé par l'Etablissement Français du sang, référence au niveau mondial de par ses nombreux niveaux de sécurité et une volonté constante de subvenir à tous les besoins possibles.

128 sites de prélèvement permanent, dont celui accolé à hôpital de Reims permettent des dons réguliers. Des sites fixes bien sûr, mais également des collectes effectuées chaque semaine dans toute la France, pour être au plus près de potentiels donneurs. Chaque année, 10.000 nouveaux donneurs franchissent le pas. Notamment des jeunes, bien aidé par les campagnes relayées sur les réseaux sociaux.

Qui peut donner ?

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Le don du sang est toujours aussi primordial. Comme pour une piqure de rappel, cette semaine nous le rappelle avec de nombreuses actions et d'animations et en point d'orgue la journée de mercredi prochain. Interviews : Muriel Blaison, responsable de l'organisation des collectes. Francis André, donneur. David Ta Phi Thanh, médecin responsable des prélèvements. Céline Heurtevin, chargée de la promotion du don du sang. ©France 3 Champagne-Ardenne

 

Les conditions d’accès au don du sang sont fixées par l’arrêté interministériel du 5 avril 2016 remplaçant l’arrêté du 12 janvier 2009. À compter du 10 juillet 2016, le don de plasma est ouvert sans discrimination et le don du sang est possible en l’absence de relations sexuelles entre hommes dans les douze derniers mois. L’article L1211-6-1 al. 2 du Code de la santé publique dispose à cet égard que « Nul ne peut être exclu du don de sang en raison de son orientation sexuelle ».

SOS homophobie considère que cette avancée est insuffisante et réclame l’alignement des conditions du don, exclusif de toute discrimination. La notion de « population à risque » n’est pas pertinente et le critère retenu devrait être celui du « comportement à risque ».

Source : SOS homophobie
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