En réaction à la visite de Manuel Valls venu poser la première pierre de l'usine chinoise de LED, INESA, près de la gare Meuse TGV lundi 21 mars 2016, des salariés de l'entreprise d'éclairage public Eclatec sont allés manifester près du site. Ils craignent pour leur avenir économique.
Lundi 21 mars 2016, une centaine de salariés de la société Meurthe-et-Mosellane Eclatec de Maxéville ont fait le déplacement jusqu'à la gare Meuse TGV.
Ils dénoncent la pose par le Premier ministre, Manuel Valls, de la première pierre du futur site de production de LED d'INESA et "le fait qu'une entreprise chinoise à capitaux publics est aidée par le gouvernement français avec des fonds publics français alors que dans le même temps leur entreprise locale, Lorraine et Haut-Marnaise ne bénéficie d'aucunes aides".
Et voilà la première pierre. #Valls #INESA #Meuse #Chine pic.twitter.com/ibPh1SWuxf
— Samuel Goldschmidt (@rtlgrandest) 21 mars 2016
Ces salariés réclament "une concurrence loyale".