La grippe touche toutes les régions métropolitaines. Seule la Normandie est en seuil pré-épidémique, mais les cas augmentent de façon signitficative. Urgences saturées, pénurie de vaccins et pharmaciens qui vaccinent, tour d'horizon de la situation.
Courbatures, frissons, fièvre...dans les Hauts-de-France, comme dans le reste du pays, les cas de grippe sont de plus en plus nombreux. Aux urgences du CHU d'Arras, une quinzaine de patients est pris en charge quotidiennement pour des symptômes grippaux. Avec le froid qui s'installe, le virus se répand. Le pic devrait être atteint dans les prochaines semaines.
Aux urgences d'Arras, les cas de grippe sont de plus en plus fréquents.
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©France 3 Nord Pas-de-Calais
Pénurie de vaccins en Bretagne
La Bretagne est pour l'heure la région où la grippe sévit le plus, avec 226 cas pour 100 000 habitants recensés la première semaine de janvier, contre 86 pour le reste du pays. Une épidémie tardive, due notamment à la douceur du début de l'hiver et à la bonne couverture vaccinale. Même si, dans la région, la pénurie de vaccins s'est rapidement fait sentir.
L'épidémie de grippe s'installe en Bretagne. Dans la région, il est difficile de se proccurer des vaccins
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©France 3 Bretagne
La vaccination en pharmacie
Cet hiver, la vaccination en pharmacie est possible dans quatre régions tests (Auvergne-Rhône-Alpes, Hauts-de-France, Nouvelle-Aquitaine et Occitanie). Dès l'hiver prochain, ce service devrait être dispensé sur tout le territoire. Une nouveauté qui divise. Il y a ceux qui sont ravis de ne pas avoir à prendre rendez-vous chez leur médecin généraliste pour une simple piqûre. Et ceux qui estiment que c'est du travail enlevé aux infirmières libérales. En tout cas, à Limoges, le test de cet hiver a été concluant.
La Nouvelle-Aquitaine est l'une des 4 régions tests pour la vaccination en pharmacie. Un service qui partage
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©France 3 Limousin
