Les haras pourraient-ils disparaître? En 2014, l'Etat compte céder ses propriétés et bâtiments. A Compiègne, l'activité appartient déjà à des éleveurs privés qui louent les locaux et s'inquiètent pour leur avenir.
En pleine période de reproduction, les contrôles gynécologiques ne désemplissent pas. Bruno Lechevalier a repris cette activité l'an dernier depuis que l'Etat s'est désengagé des haras Nationaux de Compiègne.
Pas sur qu'il puisse poursuivre encore longtemps.