Troisième et dernier jour d'audience pour Dominique Strauss-Kahn qui devrait n'être entendu que dans la matinée sur une garçonnière qu'il aurait eu à Paris. Vendredi 13 février, les débats de ce procès Carlton-DSK porteront sur le financement des parties fines.
Ce jeudi 12 février, le tribunal doit consacrer une partie de la journée au même groupe, et se penchera notamment sur la "garçonnière" de l'ancien patron du FMI à Paris, avant de tourner la page Dominique Strauss-Kahn et de s'intéresser au volet des escroqueries dans ce procès Carlton - DSK à tiroirs.Mercredi, à la sortie de l'audience, Emmanuel Daoud, avocat du mouvement du Nid, qui vient en aide aux prostituées a estimé que "Chacun a campé sur ses positions (...) Il n'y a rien eu de nouveau. On n'a strictement rien appris".
Toujours sur l'audience de mercredi 11 février, dont voici le live, au fil des partenaires féminines et des soirées, le tribunal s'est appliqué à cerner les rôles des autres prévenus présents à l'audience mercredi. Qui organise, qui paie ces fêtes auxquelles participent DSK - en l'occurrence Fabrice Paszkowski,
ami de l'ancien ministre, David Roquet, ex-dirigeant d'une filiale d'Eiffage. Et quelle est la place du policier Jean-Christophe Lagarde, l'"accompagnateur", sous les feux nourris du ministère public pour son manque de discernement.