Certaines mesures ont été reportées, en raison de la crise actuelle.
Arrêts de travail
Depuis ce vendredi, les salariés qui sont en arrêt de travail pour pouvoir garder leur enfant passent en chômage partiel. Jusqu'alors, ils étaient rémunérés "en complément des indemnités journalières de la Sécurité sociale, à hauteur de 90 % de leur salaire, quelle que soit leur ancienneté".
Ils sont désormais rémunérés à hauteur de 84% de leur salaire net par l'État.
Baisse des tarifs de gaz
Comme chaque mois, la Commission de régulation de l'énergie a annoncé un changement dans tarifs réglementés (HT) d'Engie : il baisse à nouveau, à hauteur de 1,3%.
De façon plus précise, ce tarif baisse de 0,3% pour le gaz de cuisson, de 1,3% pour le gaz de chauffage et de 0,7% pour ceux cumulent ces deux usages.
Le prix des notaires reste stable
Les tarifs réglementés appliqués aux "émoluments" des notaires étaient également censés baisser, au 1er mai (de 1,9%), en ce qui concerne différentes prestations réalisées par les notaires : "vente immobilière, constitution d'hypothèque, donation, contrat de mariage, partage, acte de notoriété successorale, déclaration de succession...", rappelait début mars le site du service public.
La mesure a finalement été reportée au 1er janvier 2021, en raison de la crise du Covid-19.
Les retraites de base pas réajustées
Le réajustement prévu de certaines pensions de base a connu le même sort : le complexe mécanisme de revalorisation des retraites, en fonction du niveau de pension, devra attendre jusqu'à juillet, voire septembre, en raison du confinement.
Pas de quoi s'inquiéter pour les quelques dizaines de milliers de retraités concernés, si l'on en croit la direction de la Sécurité sociale, citée par Le Monde pour qui personne ne sera perdant.