Le revendeur était poursuivi pour blessures involontaires. Les rats qu'il avait importés étaient malades du cowpox.
Le tribunal correctionnel de Compiègne a estimé qu'il n'était qu'un intermédiaire entre l'éleveur, installé en Europe de l'Est et ceux auxquels avaient revendus les animaux.
Les rats étaient en fait porteurs de virus cowpox.
L'homme, installé dans le nord, a donc été relaxé tandis que la demande de constitution de partie civile faite par les victimes a été rejetée par le tribunal.
4 compiègnois avaient été infectés par ce virus qui provoque des lésions de la peau. Chacun d'eux avait été en contact avec des rats vendus dans une animalerie de la zone commerciale de Jaux-Venette, près de Compiègne.