Condamné en 2003 à vingt ans de prison, Abderrahim el-Jabri réclame aujourd'hui un nouveau procès.
Abderrahim el-Jabri, originaire d'Ostricourt, demande des comptes. Condamné à tort pour meurtre, il y a 15 ans, il réclame aujourd'hui un nouveau procès pour mettre en lumière « les erreurs monstrueuses de l'enquête » et être « lavé de tout soupçon ».
Condamné en 2003 à vingt ans de prison pour le meurtre d'un jeune dealer à Lunel, dans l'Hérault, il a obtenu que la cour de révision se saisisse lundi de son cas et de celui de son ami Abdelkader Azzimani. Le résultat des quinze ans de combat de cet Ostricourtois qui rêve d'une nouvelle vie.
Il pourrait être bientôt réhabilité par la cour de révision.