Coupe du Monde : Pavard et Varane sauvent les meubles avant les 8e

Journal de bord des Nordistes Benjamin Pavard et Raphaël Varane, jour 11 ! Aujourd'hui les deux Ch'tis sauvent in extremis les meubles, décrochent la victoire face au Pérou... et assurent leur place en huitièmes. 

Ils nous ont donné des frissons, Benjamin Pavard et Raphaël Varane, pour ce 11e jour en Russie... D'abord en pensant aux 17°C ambiants du stade d'Ekaterinbourg. Frémissement. Nos poils se dressent à la 13e minute, lorsque Raphaël manque de marquer de la tête. On était à ça ! 

OH LA TÊTE DE VARANE PASSE JUSTE À CÔTÉ !

— SOMETHING'S GOTTA GIVE (@clemtomlinson42) June 21, 2018

Le souffle ralentit. Benjamin enchaîne les passes réfléchies. Mais le Pérou contre-attaque. Force la main. Sans succès. Après le premier but français, Benjamin sauve le contre avec un tacle parfait, qui n'est pas passé inaperçu (35e). 
 

les tacles de pavard sont tellement propre #FRAPER

— (@SAIYANM12) June 21, 2018

NICE TACLE PAVARD #FRAPER

— Pavard le best (@ChamaTheGod) June 21, 2018

Coup de mou

Le score se maintient à 1-0. Que se sont dit nos deux Ch'tis à la mi-temps ? Raphaël a-t-il donné quelques conseils au benjamin ? De retour sur le terrain, le Perou s'approche dangeureusement des poteaux français. 
 

59e minute. Varane éblouit ses pairs avec une belle intervention, toujours en duo avec Pavard qui repousse de la tête une offensive péruvienne qui insiste. Mais Benjamin fatigue. Et ça se voit un peu. Les réseaux sociaux s'enflamment et réclament son remplacement. 
 

Pavard pommé sur le terrain....

— thierry hébert (@thierryhbert1) June 21, 2018

Je confirme ce que je disais contre l’Australie, pour moi Pavard c’est non.

Hormis une certaine sécurité défensive, il n’apporte rien et perd énormément de ballons. #FRAPER

— Mino (@Minoskovic) June 21, 2018

On subit trop. Pavard pas au niveau aujourd’hui... #FRAPER

— Mélanie. (@Melanie__dx) June 21, 2018

C'est finalement Antoine Griezmann qui sort, suivi d'une incroyable occasion française à la 81e minute. Mais le match en restera là. Douloureusement. Sur un dernier corner, dernier espoir, ouverture vers d'autres possibles...