Début juin, une jeune femme affirmait via les réseaux sociaux que son responsable au Subway de Saint-Maximin l'avait renvoyée après avoir signalé des asticots dans la vitrine. La sandwicherie a rouvert ses portes le 14 juin après un contrôle sanitaire concluant "à un niveau d'hygiène satisfaisant".
Les images d'asticots grouillant sur un comptoir avait heurté plus d'un amateur de sandwich. Le 8 juin, une jeune femme accusait le responsable du restaurant franchisé Subway de Saint-Maximin, dans l'Oise, de l'avoir renvoyée après qu'elle a signalé la présence des nuisibles. Le post Facebook dans lequel elle narre son histoire est partagée plus de 45.000 fois et l'établissement ferme temporairement ses portes.
Une semaine plus tard, l'établissement a pu reprendre son activité. "Le rapport d’inspection de la DDPP [Direction Départementale de la Protection des Populations, chargée entre autres du contrôle sanitaire des produits alimentaires, NDLR] du 12 juin dernier conclut à un niveau d’hygiène satisfaisant", affirme le groupe dans un communiqué.
Laura Pierret, la jeune femme à l'origine du post, avait en outre affirmé avoir pris rendez-vous avec les Prud'hommes. "S’il est avéré que le droit du travail est mis en jeu, toutes les mesures légales seront prises par les autorités compétentes", assure Subway France.